“Quand la colline d’Élancourt a été retenue pour l’épreuve de VTT des Jeux olympiques 2024, cela a mis tout le monde d’accord. Cela faisait trente ans qu’on s’engueulait pour savoir quoi en faire”, résume Jean-Michel Fourgous, maire d’Élancourt et président de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines. C’est un véritable renouveau qui s’annonce pour le site de 54 hectares qui s’élève à 231 mètres, point culminant de la région Ile-de-France. Ce 15 mai, ce projet, avec un volet écologique et qui entend voir plus loin que le rendez-vous olympique, a ainsi été présenté.
Répondre à des attentes variées n’était pas une évidence tant ce site naturel fragile, tour à tour carrière puis décharge publique, a été délaissé depuis des années. Et pourtant, notamment grâce au groupement d’intérêt public (GIP) Seine et Yvelines environnement, le défi de contenter le plus grand nombre semble réalisable.
Adapter les circuits à la biodiversité
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