« Plus de vélos, plus de nature… Je pense qu’on voit bien la direction dans laquelle nous voulons mettre la ville. Et nous allons continuer dans ce sens ». Poursuivre le travail engagé pour améliorer l’attractivité de Rouen. Voilà la principale feuille de route que s’est donnée Nicolas Mayer-Rossignol, maire de la ville et président de la Métropole, à deux ans du terme de son mandat municipal. « On a eu beaucoup de retours cet été sur le fait que le territoire a gagné en attractivité », s’est-il félicité à l’occasion d’une conférence de presse de rentrée, le 6 septembre. Une tendance que l’élu illustre par les chiffres.
Sur le tourisme d’abord. « A ce stade, nous sommes à +4 % par rapport à l’an dernier, qui était pourtant une année d’Armada… », note-t-il fièrement. Les années accueillant une Armada sont en effet traditionnellement nettement au-dessus des autres en termes de fréquentation. Et si d’autres évènements ont marqué l’été rouennais, rien de comparable, sur le papier, avec la grande fête des vieux gréements et de la navigation.
Plus de touristes, plus de commerces
« Il y a eu le départ de la Solitaire du Figaro, rappelle Nicolas Mayer-Rossignol. On n’était pas sûr que cela marche au milieu du mois d’août. Mais cela a bien fonctionné. » Surtout, l’édile se félicite que ce soient les organisateurs qui aient sollicité la ville plutôt que l’inverse.
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